Fiche détaillée d'un personnage
Base Budé
Fiche détaillée d'un personnage
Indications générales
Nom principal
Jean de Sponde
Autres noms
Joannes Spondanus (Nom latin)
Naissance
1557, Mauléon (France)
Mort
18/3/1595, Bordeaux (France)
Formation
Lieu de formation
Basel (Suisse), 1583 il étudie à l'Université protestante de Bâle
Langues
Grec : Connaissance : Oui, Certitude : Certain, Sponde traduit Homère et Hésiode en latin, Sénèque en français, ainsi que la Logique et l'Organon d'Aristote.
Latin : Connaissance : Oui, Certitude : Certain
Maitre/Eleve
Elève de Theodor Zwinger, Basel (Suisse), 1583
Activités
Confessions
Calviniste
Catholique romain, 1595 il se convertit à la foi catholique, peu après le roi Henri IV, avec son frère Henri de Sponde, sous l'influence de Jacques Davy du Perron.
Protecteur/Protégé
a été protégé par Jeanne d'Albret
Autres relations
est attaqué(e) par Isaac Casaubon, qui appelle ses commentaires "des bagatelles et des remarques de néant".
est le frère de Henri de Sponde
est en relation avec François Hotman, Bâle (Suisse)
cite Angelo Poliziano, dans la 2ème partie de ses "Prolegomena" où il donne une biographie d'Homère, compilation inspirée de Pseudo-Hérodote, Pseudo-Plutarque, Elien, Suidas, Angelus, Politien et J. Camerarius.
emprunte un livre à Hubert Van Giffen, 1572 Jean de Sponde a utilisé l'édition d'Homère par H. van Giffen pour sa propre édition des Oeuvres d'Homère (1583).
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Activités/Revenus
Maître des requêtes, maître des requêtes d'Henri de Navarre, qui semble l'avoir chargé de plusieurs missions.
Lieutenant-général, La Rochelle (France), entre 1589 et 1590 ca. nommé lieutenant général de la sénéchaussée de La Rochelle en 1589 ou 1590
Autre activité
Poète, poète baroque
Bibliographie
Mecking Volker, Jean de Sponde (1557-1595): un humaniste dans la tourmente, Les particularités lexicales de l'oeuvre spondienne, Colloque international, mars 2008, Pau, France, Paris, Classiques Garnier, 2012, Colloques, congrès et conférences sur la Renaissance européenne, 72, p. 153-188
Ménager Daniel, La Renaissance et la nuit, Les seuils de la modernité 10, Genève, Droz, 2005, 270 p.
Sources
IRHT- Hum