Base Budé
| Paris (France), Collège de Navarre à Paris, 1527 |
| Grec : Connaissance : Oui, Certitude : Certain, il est l'auteur d'une grammaire grecque qui paraît en 1560. |
| Latin : Connaissance : Oui, Certitude : Certain |
| Maître de Johann Thomas Freige, dans son discours de remerciement "Basilea ad senatum populumque Basiliensem" (édit. 1571), il le cite comme un de ses disciples dévoués. |
| Maître de Pierre Forcadel |
| Maître de Nicolas de Nancel |
| Maître de Bonaventure Irland, Paris (France), Discipline : Philosophie |
| Maître de Pierre Cayet |
| Maître de Théophile de Banos, Paris (France) |
| Maître de Theodor Zwinger, qu'il retrouve avec plaisir lors de son séjour à Bâle (octobre 1568-été 1570). |
| Maître de John Stewart, Paris (France), Collège de Presles à Paris, qui fait son éloge dans un discours prononcé le 7 juillet 1549. |
| Maître de Charles Macrin |
| Elève de Johann Sturm, Paris (France), qui éveille sa vocation philosophique. |
| Maître de Arnaud d’Ossat, Paris (France) |
| Maître de Antoine Loisel, dont il fera son exécuteur testamentaire |
| Maître de Florimond de Raemond |
| Elève de Pierre Danès, 1544 ca. Pierre Danès et François de Vicomercato sont commissaires de son adversaire Antoine de Gouvéa, dans la "querelle d'Aristote". François Ier lui interdit tout enseignement. |
| Arts, Magister, Paris (France), 1536 |
| Protestant, après 1561 il se tourne vers les églises réformées, sans parvenir à s'en faire apprécier. Il est obligé de quitter Paris à plusieurs reprises et n'y enseigne que par intermittence |
| Catholique romain, avant 1561 |
| Église Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris, Paris (France), Fonction : Curé, entre 1556 et 1557 (mentions) on ne possède aucun élément concernant sa prise en charge et son départ de la cure; il n'est plus curé en 1557 : il a peut-être alors résigné en faveur de son ami Omer Talon. |
| a été protégé par Charles de Lorraine |
| a été le protecteur de Jean Pena |
| est l'ami de Basilius Amerbach, dans son discours de remerciement "Basilea ad senatum populumque Basiliensem", il cite Amerbach le jeune, qui lui a ouvert sa bibliothèque. |
| est l'ami de Nicolas Bergeron, qui sera l'un de ses exécuteurs testamentairres |
| reçoit des lettres de Celio Secondo Curione, qui lui recommande le Polonais André Siemiecki (Bâle, Bibl. Univ. Mscr. G. I. 66). |
| se voit consacrer par Étienne Pasquier, une de ses "Icônes". |
| est en relation avec Antoine Fouquelin, Paris (France) |
| inspire Johannes Thomas Freigius, dans son discours de remerciement "Basilea ad senatum populumque Basiliensem", il cite le juriste, qui est un de ses disciples dévoués. |
| est en relation avec Pierre Forcadel, Paris (France), Collège de France à Paris, où tous deux essaient d'enseigner en Français. |
| inspire Johann Althaus |
| est l'ami de Denis Lambin, D'abord adversaire de Ramus, Denis Lambin devient un de ses amis les plus dévoués. La fin tragique du philosophe hâte la sienne propre. |
| est l'ami de Omer Talon, ami intime qui le soutient dans sa tentative de réforme de l'Université. |
| est l'ami de Simon I Piètre |
| est attaqué(e) par Pierre Galland, 1551 |
| est dédicataire de Antoine Fouquelin, 1555 Antoine Fouquelin dédie à Pierre de La Ramée son "In Auli Persii Flacci Satyras [quarum textus inest] commentarius, ad Petrum Ramum" (Paris, André Wechel, 1555). |
| est attaqué(e) par Jacques Charpentier, Paris (France), entre 1566 et 1567 |
| est en relation avec Paulus Melissus, Paris (France), 1567 ca. |
| suit les cours de Simon Sulzer, Basel (Suisse), entre 10/1568 et 1570 (été) |
| suit les cours de Johann Jacob Grynaeus, Basel (Suisse), entre 10/1568 et 1570 (été) |
| dédie à Basilius Amerbach, Basel (Suisse), entre 1568 et 1570 pendant son séjour dans cette ville, il fait paraître plusieurs livres chez Eusebius et Nicolaus Episcopius, et les dédie à Amerbach le jeune. |
| rencontre Tycho Brahe, Basel (Suisse), 1570 Pierre de La Ramée, frappé par le talent du jeune Tycho Brahe, le mentionne dans sa "Defensio pro Aristotele adversus J. Scheccium". |
| polémique avec Jakob Schegk, entre 1570 et 1571 |
| Professeur de philosophie, Paris (France), 1536 Il enseigne au Collège du Mans, à Paris, puis au collège de l'Ave Maria |
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Professeur de philosophie, Paris (France), 1543 au collège de l'Ave Maria: pour avoir mis en cause la doctrine d'Aristote dans une querelle qui l'oppose à Jacques Charpentier, il est interdit d'enseignement; c'est grâce à la protection du roi Henri II et du cardinal de Lorraine qu'il peut enseigner à nouveau au collège de Presles et au Collège royal (en 1551), où une chaire d'éloquence et de philosophie est crée pour lui. En 1557, il fait partie avec Turnèbe d'une délégation de l'Université chargée d'obtenir la clémence dans la querelle du Pré-aux-clercs qui avait donné lieu à de violents incidents. Violent adversaire des méthodes de l'Université, il connait à la fois un vif succès et une furieuse opposition. |
| Professeur de philosophie, Collège de Presles à Paris, Paris (France), 1545 au collège de Presles, dont il est le Principal et à qui il voue sa vie |
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Professeur de philosophie, Collège Royal à Paris, Paris (France), 1551 Henri II a créé la chaire d'éloquence et de philosophie pour Ramus. En 1559, celui-ci consacre son enseignement aux mathématiques. |
| Lecteur, Collège de France à Paris, Paris (France), 1551 "lecteur du roi" |
| Philosophe |
| Mathématicien |
| Grammairien |
| Ecrivain, il publie de nombreux ouvrages de philosophie (en 1555 parait sa "Dialectique"), de rhétorique, d'histoire et de mathématiques. |
| Genève, entre 1569 et 1570 où il rencontre Théodore de Bèze qui le juge sévèrement. |
| Johannes Thomas Freigius, Vita P. Rami per J. Th. Freigium in P. Rami praelectiones in Ciceronis orationes octo consulares, Bâle, 1574 |
| Nicolas de Nancel, Petri Rami Veromandui vita a Nic. Nancelio Trachyeno Noviodunensi ...descripta, Paris, 1599 |
| Angelo Vladimir, Les curés de Paris au XVIe siècle, p. 815, n° 357, Histoire religieuse de la France, t. 26, Paris, Les Éditions du Cerf, 2005, in-8°, 894 p., ISBN: 2-204-07761-5 |
| Bernus Auguste, Pierre Ramus à Bâle, Bulletin historique et littéraire publié par la Société de l'histoire du protestantisme français, XXXIX, 1890, p. 508 |
| Bertrand Joseph, J. Charpentier est-il l'assassin de Ramus?, Revue des Deux Mondes, 1881 |
| Bonjour Edgar, Die Universität Basel, 1460-1960, von den Anfangen bis zur Gegenwart, Bâle, 1960 |
| Bourbon Henri, Quelques notes sur les "de la Ramée", Revue historique du plateau de Rocroi, XII, 1934, p. 713-715 |
| Couzinet Marie-Dominique, La "conjonction" entre les disciplines chez Pierre de La Ramée, Nouveaux regards sur les "Apollons de collège". Figures du professeur humaniste en France dans la première moitié du XVIe siècle, Genève, Librairie Droz, 2014, Travaux d'Humanisme et Renaissance, DXXXII, p. 87-106, ISBN: 978-2-600-01736-7 |
| Dassonville Michel, La collaboration de la Pléiade à la dialectique de Pierre de La Ramée, Bibliothèque d'Humanisme et Renaissance, XXV, 1963, p. 337-348 |
| Demaiziere Colette, Ramus (Pierre de La Ramée) (1515-1572), Centuriae Latinae. Cent une figures humanistes de la Renaissance aux Lumières, offertes à Jacques Chomarat, Genève, Droz, 1997, Travaux d'Humanisme et Renaissance, CCCXIV, p. 651-656, ISBN: 2-600-00 |
| Fleig Hans, Petrus Ramus, "Basilea". Eine Rede an die stadt Basel aus dem Jahre 1570, lateinisch und deutsch, Bâle, 1944 |
| Gilbert Neal Ward, Renaissance concepts of method, XXVI, New-York, Columbia University Press, 1960, 225 p. |
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| Howell Wilbur-Samuel, Logic and Rhetoric in England 1500-1700, Princeton N. J., University Press, 1956, 8°, X-412 |
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