Base Budé
| Grec : Connaissance : Oui, Certitude : Certain |
| Latin : Connaissance : Oui, Certitude : Certain |
| Maître de Denis Lambin, Paris (France), Collège du Cardinal Lemoine à Paris, Discipline : Grammaire, et rhétorique. |
| Maître de Pierre II Pithou, Paris (France), Collège de Boncourt à Paris, Discipline : Philosophie, et rhétorique. |
| Maître de Frédéric Jamot, Paris (France), 1550 ca. |
| Arts, Magister, Paris (France), 1537 |
| Catholique romain |
| Cathédrale Notre-Dame de Paris, Paris (France), Fonction : Chanoine, 1556 |
| correspond avec Denis Lambin |
| est en relation avec Jean du Bellay, le cardinal Jean du Bellay possède par ailleurs des ouvrages illustrant la controverse entre Galland et Ramus. |
| est l'ami de Pierre Duchâtel, Pierre Galland rédige sa biographie latine l'année même de la mort de Duchâtel (1552). Cette biographie "Petri Castellani, magni Franciœ eleemosynarii, vita" sera publiée par Étienne Baluze en 1674 à Paris. |
|
est en relation avec Francesco Vimercato, Paris (France), son collègue au Collège Royal. Un dialogue rédigé par l'élève de Vimercato, Spirito Martino de Cuneo, le "Dialogus de entelechia" (Paris, Christian Wechel, 1543) met en scène Francesco Vimercato avec Pierre Galland sur la signification exacte du terme aristotélicien d'entéléchie. |
| est l'ami de Adrien Turnèbe, Paris (France), Collège de Boncourt à Paris, 1545 |
| attaque Pierre de La Ramée, 1551 alors titulaire de la chaire de philosophie au Collège Royal, autour de la réforme du cursus universitaire, ou encore de l'autorité des Anciens. Pierre Galland publie alors son "Pro schola Parisiensi contra novam academiam Petri Rami oratio" (Paris, M. Vascosan, 1551). Ramus répond à son détracteur dans sa leçon inaugurale au Collège des lecteurs royaux en août 1551. |
| est dédicataire de Adrien Turnèbe, 1552 qui lui adresse une édition de Plutarque. |
| Régent, Collège du Cardinal Lemoine à Paris, Paris (France), 1535 ca. |
| Principal, Collège du Plessis à Paris, Paris (France), entre 1538 et 1539 |
| Principal, Collège de Boncourt à Paris, Paris (France), 1541 |
| Professeur d'éloquence, Collège Royal à Paris, Paris (France), entre 1542 et 1559 dans son privilège de l'édition de Quintilien d'octobre 1542, Pierre Galland est désigné comme "professor regius". Il succède à Latomus dans la chaire d'éloquence du Collège Royal. |
| Professeur de grec, Collège Royal à Paris, Paris (France), 1545 (?) de la chaire d'éloquence, il passe à celle de grec. |
| Commentateur, il est l'auteur de "Observations sur les institutions oratoires de Quintilien", insérées dans les éditions de Quintilien (Paris, 1549, in-fol.) et (Paris, 1554, in-4). |
| Editeur intellectuel, il donne la première édition des "Scriptores de agrorum limitibus et constitutionibus" (Paris, 1548), d'après un manuscrit qu’il a trouvé en Flandre. |
|
Orateur, 1547 Pierre Galland prononce le 7 mai 1547, au nom des lecteurs royaux, l'oraison funèbre du roi de France François Ier, fondateur du Collège royal : " Petri Gallandii... Oratio in funere Francisco, Francorum regi, a professoribus regiis facto, habita Lutetiae nonis maii 1547, Paris, M. Vascosan, (s. d.), In-4° , 24 ff.). Une traduction en français par Jean Martin est imprimée la même année 1547. |
| Girot Jean-Eudes, La notion de lecteur royal: le cas de René Guillon (1500-1570), Les origines du Collège de France (1500-1600), Paris, Collège de France/Klincksieck, 1998, p. 43-108 |
| La Charité Claude, Rabelais était-il ramiste? La querelle Galland-Ramus, le solécisme rabelaisien et la dialectique ramiste, Dalhousie French Studies, t. 85, 2008, Winter, p. 75-93 |
| Meerhoff Kees, Pierre Galland : un mélanchthonien masqué, Autour de Ramus : Le Combat, Paris, Champion, 2005 |
| Meerhoff Kees, Les Lecteurs royaux pour l'éloquence latine et la philosophie. De Latomus à Ramus, Histoire du Collège de France, Paris, Fayard, 2006, I : La création, 1530-1560, p. 293-352 |
| Meerhoff Kees, Some Sixteenth-Century Readings of Aristotle's 'Ethics, Der Aristotelismus in der frühen Neuzeit, Kontinuität oder Wiederaneignung ?, Wiesbaden, Harrassowitz, 2007, p. 291-324 |