Base Budé
| Latin : Connaissance : Oui, Certitude : Certain |
| Maître de Giovanni Grillenzoni, Université de Bologne, Discipline : Philosophie, |
| Maître de Gasparo Contarini, Bologna (Italie), Discipline : Philosophie |
| Maître de Girolamo Fracastoro, Padova (Italie), Université de Padoue, Discipline : Philosophie |
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Maître de Lazzaro Bonamico, Padova (Italie), entre 1499 et 1509Discipline : Philosophie, Bonamico a rédigé quelques unes des principales "reportationes" des cours professés par Pomponazzi. Pomponazzi faisait ses cours en mauvais latin scolastique et y mélait des expressions du dialecte mantouan; son élève L. Bonamico, dans le "dialogo delle lingue" de leur ami commun Sperone Speroni, disait que le maître au fond "niuna lingua sapev dalla Mantovana in fuori". |
| Maître de Marcantonio Zimara, Padova (Italie), Studio patavino-Padova, entre 1499 et 1501Discipline : Philosophie |
| Maître de Luca Gaurico, Padova (Italie), 1500 ca. |
| Maître de Juan Ginés de Sepúlveda, Bologna (Italie), entre 1515 et 1523Discipline : Philosophie, au Collège de San Clemente |
| Maître de Gregorio Frediani, Bologna (Italie), entre 1519 et 11/7/1523 (automne 1519)Discipline : Médecine, durant ses cours Gregorio Frediani a pris des notes très détaillées sur les cours auxquels il a assisté et a transcrit les meilleurs "reportationes" des cours antérieurs à sa venue à Bologne. |
| Médecine, Doctor, Université de Padoue, 1496 |
| a été protégé par Ercole Gonzaga |
| a été protégé par Alberto Pio, Carpi (Italie), entre 1496 et 1499 Pomponazzi enseigne la philosophie à la Cour du prince. |
| est l'ami de Lazzaro Bonamico, qui a été son élève. Il en fera son exécuteur testamentaire. |
| s'oppose à Agostino Nifo, Padova (Italie), Université de Padoue, |
| s'oppose à Francesco Forno, pendant la chapitre général des dominicains à Modène, Forno soutient une "disputatio" à laquelle prend part Pomponazzi. Les "reportationes" du cours professé par Pomponazzi à Bologne sur le "De generatione et corruptione" de 1519 à 1522 font allusion à cette "disputatio". |
| s'oppose à Crisostomo Javelli, Crisostomo Javelli s'oppose à Pietro Pomponazzi dans la controverse soulevée par le "Tractatus de immortalitate animae" composé par Pomponazzi en 1516 et lui répond dans les "Solutiones rationum animae mortalitatem probantium" (publiées avec l'édition du "Tractatus" de 1519, à Bologne, chez I. de Rubiera). |
| poursuit une controverse avec Ambrogio Fiandino, dès sa première prédication de carême à Mantoue en 1517, Ambrogio Fiandino attaque, sans le nommer, les idées de Pietro Pomponazzi dont l'enseignement de la doctrine aristotélicienne lui paraît une négation de l'immortalité de l'âme. Pomponazzi se défend dans une "Apologia" (1518). Fiandino répond avec "De animorum immortalitate contra assertorem mortalitatis" (Mantoue, 1519). |
| est en relation avec Antonio Fracanzano, Padova (Italie), entre 1499 et 1509 ils étaient collègues et concurrents dans l'enseignement de la "philosophia naturalis". |
| est en relation avec Tiberio Baccillieri, Padova (Italie), entre 1499 et 1509 ils étaient collègues et concurrents dans l'enseignement de la "philosophia naturalis". |
| collabore avec Benedetto Vittori, Bologna (Italie), Université de Bologne, après 1511 |
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est en relation avec Alessandro Achillini, 1516 ca. ils engagent une controverse alors que Pomponazzi commentait le "De anima" d'Aristote en s'inspirant d'Alexandre d'Aphrodise. Paolo Giovio a conservé dans ses "Elogia virorum litterris illustrium" l'écho des discussions qui opposaient les deux hommes dans le cercle des philosophe du "Portico pretorio". |
| Professeur de philosophie, Padova (Italie), entre 1488 et 1496 il a eu pour principaux concurrents dans l'enseignement de la "Philosophia naturalis" Tiberio Bacilieri, de Bologne, élève d'Alessandro Achillini, et Antonio Fracanziano, de Vicenza. |
| Professeur de philosophie, Carpi (Italie), entre 1496 et 1497 à la cour du prince Alberto Pio. |
| Professeur de philosophie, Ferrara (Italie), entre 1497 et 1499 |
| Professeur de philosophie, Studio patavino-Padova, Padova (Italie), 1499 |
| Professeur de philosophie, Ferrara (Italie), entre 1509 et 1510 |
| Professeur de philosophie, Université de Bologne, Bologna (Italie), entre 25/10/1511 et 1521 "philosophia ordinaria de sero" et "philosophia moralis diebus festivis". |
| Commentateur, après avoir commenté les quatre livres des "Météores" d'Aristote, il rassemble 128 dubitationes : "Dubitationes in quartum Meteorologicorum Aristotelis librum" (Venise, Francisco Francisci, 1563, in-fol., [6]ff., 50 ff.). |
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Philosophe, son "De incantationibus" et son "De fato", écrits en 1520, sont réunis dans des "Opera" publiées posthumes par le médecin et naturaliste Guglielmo Gratarolo : "Pietro Pomponazzi, Opera" (Bâle, Heinrich Petri, mars 1567). Le "De incantationibus" avait déjà été imprimé, seul, en 1556. |
| Lines David A., Aristotle's Ethics in the Italian Renaissance (ca. 1300-1650). The Universities and the Problem of Moral Education, Education and Society in the Middle Ages and Renaissance, t. 13, Leiden-Boston-Köln, Brill, 2002, 613 p. |
| Nardi Bruno, Studi su Pietro Pomponazzi, Firenze, Le Monnier, 1965, X-404p |
| Ossa-Richardson Anthony, Pietro Pomponazzi and the Rôle of Nature In Oracular Divination, Intellectual History Review, t. 20, 4, 2010, p. 435-455 |
| Suarez-Nani Tiziana, Dignità e finitezza dell'uomo : alcune riflessioni sul "De immortalitate animae" di Pietro Pomponazzi, Rivista di storia della filosofia, t. 50, 1995, 7-30 |
| Vasoli Cesare, Pomponazzi (Pietro) (1462-1525), Centuriae Latinae. Cent une figures humanistes de la Renaissance aux Lumières, offertes à Jacques Chomarat, Genève, Droz, 1997, Travaux d'Humanisme et Renaissance, CCCXIV, p. 629-642, ISBN: 2-600-00 |