travaille avec Andrea Alciato, Lyon (France) |
est célébré(e) par Charles Fontaine, dans l'épigraphe suivante : "La grand'Griffe qui tout griffe A griffé le corps de Gryphe, Le corps de ce Gryphe, mais Non le los, non, non, jamais". |
est apparenté(e) à Jean Gryphe, peut-être son frère, mais le lien entre Jean et Sébastien reste à préciser. |
travaille avec Jacques Bertet, qui est son facteur, chargé de suivre les foires de Francfort. |
est le frère de François Gryphe, Sébastien est le frère aîné de François Gryphe. |
est le père de Antoine Gryphe |
est le beau-père de Guillaume I Rouillé, l'union de Guillaume I Rouillé avec l'une des filles de Gryphe est sujette à caution, d'après Baudrier (IX, p.19) il s'agit d'une fiction. D'autant que Guillaume Rouillé épouse la fille unique de Dominique de Portonariis vers 1544. |
travaille avec Jean I de Tournes, Lyon (France), 1530 ca. qui l'aide dans son atelier. |
travaille avec Hilarius Bertulphus, Lyon (France), entre 1532 et 1533 |
travaille avec Estienne Dolet, Lyon (France), 1534 il embauche Dolet comme correcteur dans son atelier |
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Sébastien GrypheFrançois Gryphe
Imprimeur, Lyon (France), entre 1524 et 1556 Pour les caractères hébreux, il emploie comme graveur Peter II Schoeffer. Au décès de Sébastien Gryphe, sa veuve Françoise Miraillet et son fils Antoine Gryphe lui succèdent sous la raison "Héritiers de Sébastien Gryphius". |
Imprimeur, Venezia (Italie), avant 1524 |
Lyon (France) |
Kemp William, L'historien Tite-Live chez Sébastien Gryphe au début des années 1540, Le livre médiéval et humaniste dans les collections de l' UQAM. Actes de la première Journée d'études sur les livres anciens, Montréal, Université du Québec, 2006, Figura, p. 93-108 |
Schwarzfuchs Lyse, L'hébreu au XVIe siècle à Paris, Lyon et Genève, p. 248-249, 252, 256, 261, Bulletin du bibliophile, fasc. 2, 2013, p. 240-266 |