Base Budé
| Paris (France), Université de Paris (Sorbonne), 1500 il entre à la Sorbonne en 1500 ; il devient "associé" en 1504. Logé au collège Sainte-Barbe, il poursuit des études de théologie. |
| Maître de Gervais Wain |
| Théologie, Licenciatus, Paris (France), Université de Paris (Sorbonne), 26/1/1512 |
| Théologie, Doctor, Paris (France), Université de Paris (Sorbonne), 18/3/1512 il est reçu premier à l'examen pour le doctorat en 1512. |
| Catholique romain, Louis Ber s'oppose violemment à la Réforme - plus encore que son protecteur l'évêque de Bâle Christoph von Utenheim - et fait son possible pour empêcher l'impression de livres luthériens à Bâle. |
| a été protégé par Christopher von Utenheim, Basel (Suisse), l'évêque de Bâle Christoph von Utenheim (c. 1450-1527) tient Louis Ber en grande estime. |
| est l'ami de Johannes Amerbach, Basel (Suisse) |
| est l'ami de Boniface Amerbach, Basel (Suisse), en 1528 Boniface Amerbach intervient avec Beatus Rhenanus et Louis Ber pour empêcher Heinrich von Eppendorf d'attaquer Érasme en diffamation. Le 3 février 1528, ils établissent à Bâle, où Eppendorf est venu, une paix précaire entre les adversaires. |
| est en relation avec Beatus Rhenanus |
| correspond avec Érasme |
| est en relation avec Heinrich von Eppendorf |
| est dédicataire de Gervais Wain, Gervais Wain dédie à Louis Ber la préface de son petit in-folio "Tractatus Noticiarum Gervasii Waim suevi, Eiusdem Questiones in libros posteriorum resolutionum philosophi" (Paris, Nicolas de Pratis pour Conrad Resch, 28 mars 1519). |
| Professeur de théologie, Université de Bâle, Basel (Suisse), entre 1512 et 1513 rentré à Bâle, il est incorporé à l'université en 1512-1513 et il entre à la Faculté de théologie le 27 août 1513. |
| Doyen, Université de Bâle, Basel (Suisse), entre 1514 et 1515 |
| Recteur, Université de Bâle, Basel (Suisse), 1514 |
| Prévôt, Basel (Suisse), entre 1515 et 1520 ca. l'évêque de Bâle Christoph von Utenheim (c. 1450-1527), qui l'a en grande sympathie, lui fait obtenir la prévôté de Saint-Pierre de Bâle. |
| Recteur, Université de Bâle, Basel (Suisse), 1520 |
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Ecrivain, Louis Ber semble n'avoir écrit qu'une seule œuvre : "Pro Salutari Hominis ad felicem mortem praeparatione, hinc inde ex Scriptura sacra et sanctis, doctis, et christianissimis doctoribus, ad cujusdam petitionem et aliorum etiam utilitatem, a sacrarum literarum professore, Ludovico Bero" (Bâle, J. Oporin, 1549). La réédition "De preparatione ad mortem" (Bâle, J. Oporin, novembre 1551) contient une "Responsio : Ad quaestionem ei propositam utrum videlicet tempore pestis, vel ex alia causa, ad vitandam mortem seu mortis periculum fugere interdum liceat, necne ? Et si quando liceat, an tunc praestet non fugere ?" en forme de lettre datée de Fribourg, le 23 février 1551, et adressée à un correspondant inconnu qui lui avait demandé si l'on devait fuir devant la peste : serait-ce Gervais Wain, auteur d'un traité sur la licéité de la fuite devant la peste ? |
| Commissaire, 10/1525 en octobre 1525, Louis Ber fait partie, avec Boniface Amerbach, Claude Chansonnette et Érasme, de la commission chargée par le sénat de Bâle d'examiner un livre d'Oecolampade suspect d'hétérodoxie. |
| exil à Fribourg, entre 1/1529 et 1554 après le triomphe de la Réforme à Bâle, Louis Ber se retire en janvier 1529 à Fribourg, où il achève sa vie. |
| voyage à Rome, 1530 |
| voyage à Rome, 1535 |
| Bernard-Maître Henri, BHR, Les "théologastres" de l'université de Paris au temps d'Érasme et de Rabelais, p. 253, Bibliothèque d'Humanisme et Renaissance, t. 27, 1965, in-8°, p. 248-264 |
| Jaenig Carolus, Liber Confraternitatis Beatae Mariae de Anima Teutonicorum de Urbe, p.45, Rome, ex typographia polyglotta S. C. de Propaganda Fide, 1875 |
| Omont Henri, Journal autobiographique du cardinal Jérôme Aléandre (1480-1530). Notices des manuscrits de Paris et d'Udine, p. 39, Notices et extraits des manuscrits de la Bibliothèque nationale et autres bibliothèques, Paris, C. Kliensieck, 1895, XXXV (1e partie) |
| Schreiber Hermann, Geschichte der Universität Freiburg im Brisgau, p. 155, II, Fribourg, 1868 |