Base Budé
| a été protégé par Jean du Bellay, Rome (Italie) |
| est en relation avec Girolamo Mercuriale, |
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travaille avec Michele Tramezzino, qui publie un volume de ses "Antichità di Roma" (1553), mais aussi des impressions (plans d'édifices et cartes de Rome) |
| est au service de Alfonso II d'Este, après sa carrière romaine, Pirro Ligorio entre en 1569 au service du duc Alfonso II d'Este. |
| Dessinateur, il dessine les jardins et les fontaines de la Villa d'Este et de la Villa Lante à Bagnaia (en travaillant avec Vignole). Il est probablement l'auteur des dessins des jardins de Bomarzo. |
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Architecte, Roma (Italie), architecte des papes Paul IV (1557-1559) et Pie IV (1560-1565). Il est nommé, en juillet 1564, architecte de la "Fabbrica di S. Pietro", succédant à Michel-Ange cinq mois avant sa mort. Le palais de l'Inquisition (puis du Saint Office), souhaité par Pie V, est construit entre 1566 et 1569 d'après un plan dessiné par Ligorio et Peruzzi. |
| Peintre, Roma (Italie), 1534 (à partir de) il peint des fresques dans plusieurs palais privés. |
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Antiquaire, il dessine les monuments antiques et collectionne, dès les années 1540. Il est l'auteur de plans de la Rome antique (1552, 1553, 1561) et "Delle antichità di Roma", composé entre 1550 et 1560 (10 volumes manuscrits), dont seul le volume consacré aux amphithéâtres sera publié (Venise, Michele Tramezzino, 1553). Il vendra en 1566 au cardinal Alexandre Farnèse sa collection de médailles antiques, ainsi que la première version de son manuscrit des "Antichità di Roma". |
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Archéologue, Ferrara (Italie), 1549 il est d'abord archéologue au service du cardinal Hippolyte d'Este : en 1549, il commence des fouilles à la Villa d'Hadrien à Tivoli et ébauche son chef-d'œuvre, les jeux d'eau de la Villa d'Este pour le cardinal Hippolyte d'Este. En 1568, il est congédié par le pape Paul V pour avoir critiqué les travaux de Michel-Ange à Saint-Pierre de Rome et part à Ferrare : après sa carrière romaine, il passe ainsi au service du duc Alfonse II d'Este (1569). Il est chargé d'une partie de la reconstruction du château des Este, qui avait souffert du tremblement de terre de novembre 1570 (bibliothèque, antiquarium). Il est suspecté d'avoir fabriqué des faux archéologiques. |
| Coffin David R., Pirro Ligorio. The Renaissance Artist, Architect, and Antiquarian, The Pennsylvania State University Press, 2004, 226p |
| Schreurs Anna, Lo studio dell'antico a Napoli : il tempio dei dioscuri, disegnato da Pirro Ligorio, Journal de la Renaissance, IV, 2006, p. 89-110 |
| Vagenheim Ginette, Le dessin de "L’essercitio gladiatorio" de Pirro Ligorio et le "De arte gymnastica" de Girolamo Mercuriale. De la recherche antiquaire à la propagande de la Contre-Réforme : l’exemple du corps au combat, Ludica - Annali di storia e civiltà del gioco, t. 3, 1997, p. 91-100 |
| Vagenheim Ginette, "Manus epigraphicae". Pirro Ligorio et d'autres érudits dans les recueils d'inscriptions latines de Jean Matal, L'Italie et la France dans l'Europe latine du XIVe au XVIIe siècle : influence, émulation, traduction (actes du 2e Colloque international de la Société française des études néo-latines, Rouen, 2003), Mont-Saint-Aignan, Publications des Universités de Rouen et du Havre, 2006, p. 233-270, ISBN: 978-2-87775-410-1 |
| Volpi Caterina, Ligorio (Pirro) (c. 1513-1583), Centuriae Latinae. Cent une figures humanistes de la Renaissance aux Lumières offertes à Jacques Chomarat, Genève, Droz, 1997, Travaux d'Humanisme et Renaissance, CCCXIV, p. 497-503, ISBN: 2-600-00 |