Padova (Italie), facoltà di medicina, avant 1562 |
Latin : Connaissance : Oui, Certitude : Certain |
Elève de Gabriele Fallopia, Padova (Italie), Discipline : Médecine, Fallope tient la chaire d'anatomie à Padoue de 1551 à 1562. Mercuriale affirme, dans une lettre qu'il adresse à Melchior Wieland, avoir été l'élève de Fallope; en outre, il possède dans sa bibliothèque dix ouvrages de Fallope. |
Maître de Aelius Everard Vorstius, Padova (Italie), Université de Padoue, entre 1585 et 1587Discipline : Médecine, Puis à partir de 1587 à Bologne où Vorstius le suit. |
Médecine, Doctor, Venezia (Italie), 17/4/1555 Mercuriale est reçu docteur par le Collegio dei Fisici, de Venise. |
a été protégé par Alessandro II Farnese, Roma (Italie), entre 1562 et 1569 |
correspond avec Johann Crato von Crafftheim |
est l'ami de Ulisse Aldrovandi, Mercuriale entretient des relations épistolaires avec Aldrovandi depuis 1558. |
inspire Richard Mulcaster, ayant lu le "De arte gymnastica Libri VI" (1569), Mulcaster souligne l'intérêt de la gymnastique à côté des études livresques dans ses "Positions concerning the training up of Children" (1581). |
est en relation avec Pirro Ligorio |
est en relation avec Fulvio Orsini |
est l'ami de Onofrio Panvinio |
est en relation avec Pietro Vettori |
est en relation avec Juste Lipse |
est en relation avec Marc-Antoine Muret |
est le médecin de Alessandro II Farnese, entre 1562 et 1569 |
dédie à Gianvincenzo Pinelli, 1583 il dédie à Gianvincenzo Pinelli, en termes particulièrement élogieux, sa "Censura et dispositio operum Hippocratis". |
est le médecin de Ferdinando I de' Medici, Pisa (Italie), entre 1592 et 1604 |
Médecin, Roma (Italie), entre 1562 et 1569 il est le médecin du cardinal Alexandre Farnèse. |
Professeur de médecine, Padova (Italie), entre 1569 et 1587 le Sénat vénitien invite Mercuriale, en 1569, à venir occuper à Padoue la chaire de médecine pratique ordinaire, vacante depuis la mort de son précédent titulaire, Antonio Francanzano. |
Professeur de médecine, Bologna (Italie), entre 1587 et 1592 |
Professeur de médecine, Pisa (Italie), entre 1592 et 1604 Mercuriale est en même temps le médecin du grand-duc Ferdinand Ier de Médicis. |
Bibliophile, il se constitue une riche bibliothèque, qu'il lègue à sa mort (9 novembre 1606) aux moines de Santa Maria di Vallombrosa (Vallombreuse en français), abbaye bénédictine située dans la commune de Reggello, en Toscane (Italie). |
Auteur, il compose : - le "De arte gymnastica" (Venise, Giunta, 1569), le premier traité de gymnastique de notre histoire. - un "De morbis muliebribus" ("Hi. Mercurialis, De morbis muliebribus", dans "Gynaeciorum seu de mulierum affectibus commentarii Graecorum, Latinorum etc. in tres partes digesti", Bâle, Conrad Waldrich, 1586, vol. II, f. 1-159). |
Séjour à Vienne, 1573 Mercuriale est appelé au chevet de l'empereur Maximilien II qu'il réussit à sauver, et qui tente, en vain, de le retenir à Vienne. |
Johann Crato von Crafftheim, Girolamo Mercuriale, Agasse Jean-Michel, Pennuto Concetta, Une correspondance entre deux médecins humanistes: Girolamo Mercuriale, Johann Crato von Krafftheim, Cahiers d'humanisme et Renaissance, t. 132, Genève, Droz, 2016, 342 p., ISBN: 9782600018753 |
Agasse Jean-Michel, La bibliothèque d’un médecin humaniste : l’Index librorum Hieronymi Mercurialis, Cahiers de l’Humanisme, III-IV, 2002, 2003, p. 201-253 |
Johann Crato von Crafftheim, Girolamo Mercuriale, Agasse Jean-Michel, Pennuto Concetta, Une correspondance entre deux médecins humanistes: Girolamo Mercuriale, Johann Crato von Krafftheim, Cahiers d'humanisme et Renaissance, t. 132, Genève, Droz, 2016, 342 p., ISBN: 9782600018753 |
Belloni Luigi, Streitfragen zwischen Bartolomeo Eustachi und Girolamo Mercuriali auf dem Gebiete der medizinischen Philologie, Gesnerus, t. 33, 1976, p. 188-207 |
Durling Richard J., Girolamo Mercuriale’s “De modo studendi”, Osiris, VI, 1990, p. 181-195 |
Nutton Vivian, Les exercices et la santé : Hieronymus Mercurialis et la gymnastique médicale, Le Corps à la Renaissance, Actes du XXXème colloque de Tours (1987), Paris, Aux amateurs de livres, 1990, p. 295-308 |
Vagenheim Ginette, Le dessin de "L’essercitio gladiatorio" de Pirro Ligorio et le "De arte gymnastica" de Girolamo Mercuriale. De la recherche antiquaire à la propagande de la Contre-Réforme : l’exemple du corps au combat, Ludica - Annali di storia e civiltà del gioco, t. 3, 1997, p. 91-100 |